Formation ouverte.
Ici on va se diriger hors du domaine vidéoludique, vers la réalité rituelle dans son ensemble.
La réalité virtuelle regroupe un bon nombre de formations possibles, comme tous les métiers liés de près ou de loin au domaine de l’électronique et/ou de l’informatique. Cela peut aller du mathématicien, au simple développeur logiciel, en passant par le chercheur.
Car oui, par exemple un casque de réalité virtuelle est un ensemble complexe, le chercheur, trouvera de nouveaux moyens d’immersion, et le développeur travaillera sur le logiciel avec l’aide du mathématicien, ce qui pourrait permettre de développer le casque (création d’un SDK), ou bien de développer des applications pour le casque en lui-même (jeu, visite de musée etc).
Ce domaine de métier lié à la réalité virtuelle reste quand même de « haut » niveau : on ne peut y accéder avec une simple licence, on doit se spécialiser. Elle passera en France dans un processus assez codifié : BTS informatique/DUT info/licence informatique-mathématique/prépa puis un Master spécialisé dans l’informatique ou une école d’ingénierie généraliste (uniquement si l’on fait une thèse après) ou spécialisée en informatique, puis une thèse en doctorat si l’on veut se diriger vers la recherche.
Les écoles.
D’innombrables écoles sont disponibles et adéquates à ce genre de cursus. Rien qu’ici à Toulouse, nous avons l’école Paul Sabatier pour obtenir notre licence, ou bien les prépas PSI (Physique Science de l’Ingénieur) ou MP (Math Physique) des lycées Bellevue ou De Fermat, ou alors les DUT Informatiques aux IUT de Blagnac ou bien, là aussi, celui de Paul Sabatier.
Ensuite les écoles d’ingénierie sont nombreuses avec l’INSA qui propose une branche dans le domaine informatique et électronique, l’ENSEEIHT qui propose lui-aussi un département informatique et maths appliquées, ou alors dans un domaine moins orienté vers l’informatique nous avons l’ISAE (qui réunit 2 écoles distinctes SUPAERO et l’ENSICA). On peut se tourner aussi vers un MASTER à l’UPS (plusieurs choix sont possibles comme le développement logiciel ou par exemple la formation l’intelligence artificielle et la reconnaissance des formes). Puis on peut également faire une thèse à l’Université Paul Sabatier en partenariat avec l’IRIT par exemple.
Un petit exemple…
À la faculté Paul Sabatier on peut se diriger vers une licence en informatique, et l’obtenir (oui oui c’est important…). Ensuite vers un Master (Sciences et Ingénierie – Spécialité Recherche Réalité Virtuelle et Systèmes Intelligents) à l’Université d’Evry et enfin vers une thèse centrée sur la réalité virtuelle (ici celle de M. BOUVIER pour l’ESIEE).
Projet Info 2 LONGEPE-FUZIES 